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Le bonheur, mon cul

Je me suis donc mis ce soir à l’écoute de la tant attendue précieuse galette… De Pontaven ? Je dis Pontaven parce qu’à l’écoute de ce titre, je découvre une BO poilante emballé dans un étui au graphisme chiche piqué à un écolier de primaire (et comme les Bretons sont réputés pour être avares…).
Musicalement, B.B. fait un nouveau petit détour par le son des 70’s, après Mélancolique. Il emprunte au chaleureux Barry White son ultra sexy funky-soul et y colle le flow et la chaleur vocale de Renaud Papillon Paravel, ce qui donne un cocktail d’ecstasy + TNT agrémenté de deux cerises encore liées – parce que deux c’est plus coquin. Mais je pense aussi au torride Sea Sex and Sun, autre amuse-gueule écrit très vite par Gainsbourg. Sûr, B.B. tient là son S.S.S. et ça va faire des ravages cet été sur les pistes de danse si ça sort en single.
Ecoutée en boucle, cette chanson sérieusement poilante dévoilera le message secret d’un noceur que j’ai transcrit ci-après en vers, parce qu’un vers ça va, mais trois vers, bonjour les ébats.


Le « No sir », mon cul

Motus et bouche décousue
Pour ballet de langues mêlées
Corps à corps, collés, serrés
Main dans le cou, main au cul

J’ai bien trop la bite rude
Pour ce soir tout seul me coucher
J’ai bien trop la bite rude
Pour rentrer sans avoir chopé
J’ai bien trop la bite rude
Pour laisser mes boules au panier
J’ai bien trop la bite rude
Et la nuit sera playtex playtex playtex

Le « No sir », mon cul
Le « No sir », mon cul
Le « No sir », mon cul

Barry White me tient en laisse
Envie de rouler des pelles
Sur Papillon Paravel
J’ai des frissons jusqu’aux fesses

J’ai bien trop la bite rude
Pour ce soir ne pas emballer
J’ai bien trop la bite rude
Pour dompter Papayou lélé
J’ai bien trop la bite rude
Pour rester planté couilles croisées
J’ai bien trop la bite rude
Et la nuit sera durex durex durex

Le « No sir », mon cul
Le « No sir », mon cul
Le « No sir », mon cul

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