Orly dur

Comme une jolie sérénade donnée à l’abri d’un olivier espagnol que les songes tièdes emportent vers l’Orient, comme si Gabriel Yared s’était réveillé dans les jardins de l’Alhambra, Marc Chouarain mélange guitare espagnole et violon aux sonorités orientales.
Envoûtant comme les arabesques d’une gitane, enchanteur comme un conte de Shéhérazade, trop court comme un rêve qui s’enfuit.

Ajouter un commentaire