DICTATURE, J’ÉCRIRAI TON NOM
« Dictature, j’écrirai ton nom »
Pourrait dire Emmanuel Macron
S’il ne parlait pas la novlangue
Et ne salopait de sa langue
Agglomérée et mortifère
Les chênes et cyprès millénaires.
Parlement, ou commedia dell’
Arte : tant elles sont sœurs jumelles
Que le grotesque du premier
Appelle le rire gras des masqués.
Alors il piétine de ses bottes,
Vilipendant Poutine, Polpot ;
Encore, de ses bottes, il piétine
Le Parlement, tel un Staline
Lilliputien et méprisable,
Quand le sans-dent, sorti de table,
Rassasié, comblé de TV,
De démocratie boursoufflée,
Rêvasse à ses vacances prochaines
Loin du Donbass et du Yémen.
Il piétine, le tout petit père
D’une France rance et délétère,
L’opposition de pacotille
D’une France qui tient sur des béquilles.
Malin, pour économiser
Le 49.3 fatigué,
Quand l’hémicycle est endormi,
Il fait revoter à minuit
Ces mêmes textes pourtant rejetés
Et qui assassinent la Liberté.
X. Azalbert ou A. Bercoff :
Des voix dissonantes bientôt off ?
Bientôt accusés de fascisme ?
Pire encore : d’antisémitisme
Comme d’autres résistants, déjà,
S’étant frottés à Big Pharma,
Au nouveau Reich derrière l’UE,
Aux collabos, toujours chez eux,
Qui piétinent la France tricolore,
La couvrant d’un drap bicolore !?
Sylvan M. - 15.02.24
(sylvan-m.e-monsite.com)
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